Il s'agit d'un poste à charge partielle (50% ou 75%), comprenant des enseignements destinés aux étudiant-e-s de baccalauréat et/ou de maîtrise universitaire en droit. Le ou la candidat-e sera appelé-e à collaborer avec l’Académie de droit international humanitaire et de droits humains (Genève). Il ou elle développera des recherches individuelles et collectives, au niveau national et international, dans le domaine du droit pénal international (juridictions pénales internationales, compétence internationale des juridictions nationales, justice transitionnelle, droit pénal européen, entraide pénale internationale, par exemple). Le ou la candidat-e sera aussi appelé-e à solliciter des financements extérieurs, notamment auprès du FNS et aura la responsabilité de diriger les travaux de recherche (mémoires et thèses de doctorat). Des tâches de gestion et d’organisation liées à la fonction font partie du cahier des charges.
Doctorat en droit ou titre jugé équivalent.
Droit pénal international (juridictions pénales internationales, compétence internationale des juridictions nationales, justice transitionnelle, droit pénal européen, entraide pénale internationale, par exemple).
1er septembre 2019 ou date à convenir.
Des renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès du décanat de la Faculté de droit : Benedict.Foex@unige.ch
Les dossiers de candidature, constitués d’une lettre de motivation, d’un curriculum vitae détaillé comprenant une liste de publications, d’une copie du diplôme le plus élevé, ainsi que d’un bref descriptif du projet d’enseignement et de recherche envisagé par le ou la candidat-e, doivent être déposés exclusivement en ligne en cliquant sur le bouton ci-dessous "Postuler /Apply now", ceci avant le 18 octobre 2018.
L'Université de Genève offre des conditions d’engagement motivantes dans un cadre de travail stimulant. En nous rejoignant, vous aurez l'occasion de mettre en valeur vos compétences ainsi que votre personnalité et contribuer activement au rayonnement d'une Institution fondée en 1559.
Dans une perspective de parité, l'Université encourage les candidatures du sexe sous-représenté.